Un mois et demi après le début de la saison, il est temps de dresser un premier bilan. Entre satisfaction, regrets et apprentissages, ce premier bloc de courses laisse entrevoir des perspectives encourageantes pour la suite.
Des grimpeurs en quête de réussite
La saison a débuté avec l’Essor Basque, une épreuve exigeante où les grimpeurs de l’équipe ont tenté de se distinguer. Malgré quelques performances notables, dont deux top 10 d’Adam Mitchell, l’équipe repart du Pays Basque avec une pointe de frustration et l’envie de faire mieux.
Direction ensuite la Provence pour la première manche de la Coupe de France. Cette fois, le collectif s’est mobilisé autour d’Adam Mitchell, en grande forme ce jour-là. Malheureusement, une chute à quelques kilomètres de l’arrivée a brisé ses espoirs de victoire, illustrant une part de malchance qui a marqué ce début de saison.
Un sursaut d’orgueil sur les Plages Vendéennes
À domicile, l’équipe a su répondre présente lors de la 38e édition des Plages Vendéennes. Lucas Mainguenaud a ouvert le compteur en remportant avec maîtrise la première victoire de la saison au sprint.
Le collectif s’est également illustré avec deux podiums : Maxime Meynard à Palluau et une belle deuxième place lors du contre-la-montre par équipes, devancé uniquement par la formation continentale Arkéa B&B Hôtel. Au-delà des résultats, c’est surtout la solidarité et l’esprit offensif du groupe qui sont à retenir.
Un collectif en progression
Si les victoires ne sont pas encore légion, la montée en puissance du groupe est palpable. Les automatismes se développent et la combativité est au rendez-vous, comme en témoignent les performances face à une opposition relevée en classe 2 ou encore sur la mythique Manche Atlantique. Mattéo Barusseau y a décroché une belle troisième place après une course particulièrement exigeante, confirmant les progrès du collectif.
Le regard de Jason Yon Snoeck
« Ce début de saison reflète un apprentissage constant. Nous avons un groupe jeune, et il faut lui laisser le temps d’exprimer pleinement son potentiel. Notre infériorité numérique en course ne doit pas être un frein : l’équipe est offensive, volontaire et progresse au fil des jours. »
Le prochain rendez-vous est fixé à la fin du mois de mars avec un week-end breton intense sur le Grand Prix Bousquet et les Boucles Guégonnaises. Une nouvelle opportunité pour le groupe de poursuivre sur sa lancée et d’aller chercher un résultat.
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